Votre calculette n’a pas le temps de refroidir… Entre le calcul du nombre d’annuités, du montant de la pension qui vous sera versée, le coût de votre pot de départ à la retraite et celui de votre croisière sur le Rhin pour fêter comme il se doit ce passage du monde des actifs à celui des – encore plus – actifs !, vous voilà confrontés à un choix cornélien, sur un sujet ô combien important : faut-il continuer à adhérer à la mutuelle de son entreprise ou faut-il rompre son contrat pour s’assurer à titre individuel ?
Les 20 conseillers de cmonassurance sont là pour vous aider à faire le bon choix. Ils compareront avec vous votre situation actuelle et vous diront, au regard de votre situation, des prestations dont vous bénéficiez avec votre mutuelle d’entreprise, du tarif que vous payez, s’il est plus intéressant pour vous de conserver votre complémentaire santé « collective » ou de changer pour une assurance santé individuelle. Il s’agit là du devoir de conseil de notre cabinet de courtage. Un seul numéro pour les joindre : 0 472 362 362 (du lundi au vendredi de 9h à 19h).
Conserver sa mutuelle d’entreprise, un choix coûteux?
La loi Evin de 1989, clarifiée et renforcée par un arrêt de la cour d’appel de Lyon en date du 13 janvier 2009, permet à tout salarié d’une entreprise assuré pour sa santé par le contrat collectif de cette entreprise de le conserver, même lorsqu’il part à la retraite. Dans ce cas, l’entreprise ne prendra plus en charge une partie de la cotisation (50% habituellement). L’assureur ne pourra appliquer un tarif excédant 50% de la cotisation (dans ce cas, le calcul est basé sur la cotisation réellement payée par l’assuré, donc sans tenir compte de la subvention de l’entreprise.) Dans la plupart des cas, cela permet de conserver une garantie avec des prestations plus qu’honorables à un tarif contenu. En revanche, selon les augmentations tarifaires appliquées les années suivantes, votre couverture santé risque de voir son prix déraper.
Dans ce cas – fréquent -, il vous faudra alors résilier votre assurance et vous assurer à titre individuel auprès d’une compagnie d’assurances ou d’une mutuelle, selon votre préférence. Mais attention : si les contrats d’assurance santé sont viagers, c’est-à-dire qu’ils ne peuvent être rompus par l’assureur (sauf en cas d’absence de paiement des cotisations) et que ce contrat s’éteindra avec votre mort, l’âge de souscription est important. Parmi les contrats que propose cmonassurance, on trouve trois cas de figure :
- Adhésion obligatoire avant 65 ans : c’est le cas de la plupart des garanties ;
- Adhésion obligatoire avant 80 ans : c’est le cas des contrats réservés aux seniors ;
- Adhésion possible à tout moment, quel que soit l’âge : c’est le cas des contrats proposés par les mutuelles dépendant du livre II du Code de la mutualité. Mais attention ! dans ce cas, il vous faudra attentivement regarder les prestations. Par exemple, le contrat Lumineis de la mutuelle Miltis peut être souscrit à tout âge mais, dans ses prestations, on trouve un forfait maternité. Une prestation superflue pour qui veut adhérer à 90 ans !
Pour obtenir une estimation tarifaire gratuite :
Dernier conseil : demandez à votre conseiller des simulations de remboursements ou faites des simulations sur notre site pour les postes de dépenses réellement importants pour vous :
- Hospitalisation : dépassements d’honoraires des praticiens, prise en charge de la chambre particulière, remboursement des frais de télévision ;
- Dentaire et optique ;
- Remboursement des cures thermales ;
- Appareils auditifs ;
- Autres prothèses (ex : prothèses capillaires).
Nos 20 conseillers sont à votre disposition pour vous expliquer les conditions de maintien de votre mutuelle d’entreprise dans le cadre de la loi Evin. Vous pouvez les contacter au 0 472 362 362 du lundi au vendredi de 9h à 19h.
