Passer des biberons au clavier de l’ordinateur et des berceuses à un discours commercial ne se fait pas toujours facilement. Schéhérazade et Sophie, deux collaboratrices de cmonassurance témoignent de la manière dont s’est passé leur retour au bureau après leur congé mat’. Et nous disent ce qu’elles ont apprécié… et ce qui leur a moins plu.
Laisser son enfant pour revenir travailler
Schéhérazade : J’ai été absente presque 1 an car j’ai pris un congé parental à la suite du congé maternité. Le jour où j’ai laissé Jade à la crèche pour venir au bureau, j’ai eu l’impression de l’abandonner. Ça m’a fait quelque chose sur le coup. Heureusement l’adaptation à la crèche s’est bien passée. Comme elle est bien là-bas, c’est plus facile de la laisser le matin. Le retour a été difficile mais facilité par le fait que je suis désormais à temps partiel. J’avais envie de reprendre le travail, d’avoir une vie et des relations professionnelles. Je n’aurais en revanche pas pensé que 1 an, ça passerait aussi vite. »
Sophie : « La séparation ? Ça va… C’est vrai qu’elle me manque un peu. La transition a été facilitée par le fait que c’est sa grand-mère qui garde Jenna. C’est un bébé très sociable. De toute façon, je voulais revenir. Femme au foyer, ce n’est pas pour moi. Il faut que je sois sur le terrain, au téléphone, à vendre des contrats. »
Jenna, la fille de Sophie : bientôt 1 an et déjà fan de cmonassurance !
Se remettre au boulot
Schéhérazade : « J’étais complètement déconnectée. Dans ma tête, je ne voyais que des biberons et des couches. Ça n’a pas été évident de se remettre dans le bain illico. J’avais même oublié mes mots de passe. Pour reprendre mes fonctions, j’ai demandé à refaite des écoutes avec Sophie , j’ai ressorti les supports qui sont à notre disposition. Et puis j’avais plus de 1 000 mails à traiter, à dispatcher, à lire. Car l’entreprise avance quand on n’est pas là et il faut prendre le train en marche. Il y avait des éléments importants qui avaient changé, notamment l’outil de téléphonie pour la gestion unifiée des appels. En plus des outils à découvrir ou à se réapproprier, j’ai dû découvrir une nouvelle garantie Santé que nous ne vendions pas au moment où je suis partie : Lumineis de Miltis. J’ai quand même fait un premier contrat la première semaine ; après deux semaines, tout était revenu : la posture, le discours, l’aisance avec les outils… »
Sophie : « Ça a été compliqué. J’étais fatiguée et voulais rester avec ma fille. Mais je savais que j’allais revenir après 4 mois. Dans ma tête, j’avais anticipé le retour depuis longtemps. Le boulot me manquait. Je faisais mes contrats à distance. J’ai touché mes primes même pendant mon absence, sauf en mars. Même à distance, je vois les bugs 😉 ! »
…Et la petite Jade
L’accueil dans l’entreprise
Schéhérazade : « Avec mes collègues, c’est comme si je n’étais pas partie. J’étais venue plusieurs fois au bureau pendant mon congé mat’ avec la petite et j’ai également des contacts privés avec certains. Il n’y a eu aucun décalage avec le reste de l’équipe à mon retour. »
Sophie : « Comme pour Schéhérazade, tout s’est bien passé. Ah si ! J’étais particulièrement contente car j’ai eu un nouveau repose-pied ;-). »
Les voies de progrès
Schéhérazade : « Il y avait des demandes de clients qui n’ont pas été correctement traitées car des messages vocaux n’ont pas été écouté et ma boîte mail n’a pas été bien relevée en mon absence. Mon retour aurait pu être mieux anticipé pour que je n’aie pas à attendre avant de pouvoir me connecter aux différentes interfaces que l’on utilise.
Sophie : « L’informatique, ça a moyennement fonctionné. Le plus embêtant, c’est que je n’avais plus de portefeuille et que j’ai dû tout reconstruire. »